Big Kiss Goodnight - fnc
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Synopsis :
WORK IN PROGRESS
Tout juste sorti de prison, assis dans sa voiture, Joseph boit du café glacé, fume des cigarettes et filme des vidéos hd maison. Il vit aux états-Unis, un pays qu’il aime, mais un pays en train de disparaître devant ses yeux. ses dis- cours sont un voyage hallucinant et halluciné dans la psyché américaine, une Amérique profondément réactionnaire et sauvage.
Avec le consentement de Joe, Dominic Gagnon a construit librement un film dérangeant. Il y est question de la crise, du fascisme, du rock‘n’roll, de la lutte pour la survie, de la liberté, de la dette, de la censure, des guerres, de la drogue, d’obama, de jésus... Bref, il y est question de l’Amérique profonde, bien au-delà des discours officiels. Troisième volet de la trilogie américaine, (Rip in Pieces America, FNC 2010 ; Pieces and Love All to Hell à venir aux RIDM 2012), Big Kiss Goodnight reprend les thèmes et obsessions des deux précédents volets. Et comme dans ces œuvres précédentes, le cinéaste n’adopte aucune position convenue, ne porte aucun jugement. Il a écumé le net à la recherche de ces témoignages, crachés à la face du monde et révélateurs d’un malaise profond. décadence de l’occident ou fin du monde ? Le sentiment qu’un pan entier de la société a été brutalement et sciemment laissé pour compte est plus fort que jamais. bienvenu dans le monde réel ! — Philippe Gajan
Cet événement figure dans Sublime Virtualité, un cycle de films, conférences, performances autour d’une possibilité à la fois grave, ludique et surtout très actuelle : la vertigineuse absence de frontiàres entre réalité et virtualité.