I'm faking it/where The river.../why are dogs...

En collaboration avec les résidences du 3e de l'Usine C

WHY ARE DOGS SUCCESSFUL ON STAGE?

Maria Kefirova
Danse| Théâtre | 30 min

Le (dés)enchantement selon Maria Kefirova :
(Dés)enchantement pour moi, c’est :
- un état de lucidité et de liberté qui est aussi synonyme de responsabilité.
- habiter de façon lucide et honnête le moment présent et participer à l’émergence du réel, de ce qui Est.
- une profonde connexion avec soi-même et avec la réalité permettant l’ouverture à une nouvelle dimension de ce qu’on perçoit, un nouveau sens.

Concept et chorégraphie: Maria Kefirova
En collabortaion avec : Sara Hanley, Karen Fennell, Csenge Kolozsvari, Trayan Markov, Yordan.

IM FAKING IT

Adam Kinner
Performance | Danse | Théâtre | 30 min
En anglais

Mal à l’aise, un interprète annonce qu’il pense au sexe. Un signe de néon indique : « I’m faking it ». Avec une grande simplicité de moyens, Adam Kinner met en scène les limites de la représentation et propose une esthétique de l’authenticité.

Le (dés)enchantement selon Adam Kinner :
The spectacular is always enchanting, and, in performance, everything is spectacular in some way. As a performer, I hope to enchant you. But what a loaded, one-way street that is! I hope to enchant you, but I also hope to be enchanted by you, and to remind you that you don’t need to be enchanted to have a good time or an interesting thought.

Création et interprétation : Adam Kinner

WHERE THE RIVER GOT THE WATER REMIX

Hanako Hoshimi-Caines
Danse| 30 min

Hanako Hoshimi-Caines propose des règles de jeu à ses collaborateurs : « Énonce ce qui semble évident, c’est généralement très révélateur. Soit vulnérable, mais seulement si tu peux être extrêmement têtu. L’aventure est ici, maintenant, parmi les choses les plus connues. »

Le (dés)enchantement selon Hanako Hoshimi-Caines :
Il faut bien continuer à poser la question : à qui appartient le temps et l’espace? Bruno Latour propose le mot « composition » pour donner agence à une réflexion qui dépasse les catégories et hiérarchies de la modernité mais qui ne s’arrête pas à la particularisation ni à la déconstruction de la postmodernité. J’y vois une coexistence radicale qui demande une responsabilité radicale. Je compose! Nous composons! Ça se compose! On ne peut pas/plus se permettre le désenchantement, nous ne sommes plus dans les années 90 !

Chorégraphie : Hanako Hoshimi-Caines
Interprétation : Hanako Hoshimi-Caines, Katie Moore, Matthew Woodley
Musique et chansons originales : Katie Moore, Matthew Woodley