Academy of doom
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Première Canadienne
Science Fiction / Fantastique/Action / Aventure•États-Unis/2008/85 mins/Vidéo/Anglais
L’académie de lutte féminine de Mil Mascaras est légendaire et son membre le plus connu est une magnifique femme répondant au nom de La Torcha, qui cache son identité sous un costume rouge éclatant avec masque assorti. De plus, comme les plus grands « luchadores », elle combat également le crime dans ses temps libres. L’école se trouve au centre d’une enquête criminelle lorsque les corps de plusieurs étudiants sont retrouvés. Les victimes ont été assassinées d’une façon terrible: on leur a sucé la cervelle hors du crâne! Poursuivant ses activités interlopes amorcées dans MIL MASCARAS VS THE AZTEC MUMMY, le méchant maniaque masqué connu sous le nom de Luctor terrorise l’académie afin d’en prendre le contrôle. Pendant ce temps, un excentrique baron provenant du pays de Salinia essaie de faire admettre sa fille à l’académie de lutte, mais elle détient un secret qui pourrait mettre en danger la vie de toute la population étudiante. Mil Mascaras arrive finalement à l’école afin de donner un coup de main à son amie La Torcha durant l’enquête. Ensemble, ils devront bientôt faire face à une mystérieuse horde de lycanthropes bouffeurs de cervelle....
ACADEMY OF DOOM a été produit par l’Université du Missouri/Columbia, qui innove sans cesse au niveau technologique pour le cinéma numérique et le divertissement. Cette nouvelle ère de production de film est autant un exercice d’ingénierie qu’un effort artistique, alors que l’école se démarque des traditionnels programmes en cinéma et théâtre. ACADEMY OF DOOM a été réalisé et monté par instructeurs et étudiants de l’université suivant la production de MIL MASCARAS VS THE AZTEC MUMMY. ACADEMY OF DOOM, comme son prédécesseur, est la création d’un authentique professeur de l’université, le Docteur Jeffrey Uhlmann, qui incarne à l’écran ce traitre de Luctor. Uhlmann a réussi à ressusciter un genre qu’on croyait éteint : le film de lutteurs masqués mexicains. Son petit dernier ajoute une touche de féminité aux acrobaties propres au genre qu’on appelle « lucha libre ». ACADEMY OF DOOM a tout pour plaire aux amateurs: des costumes colorés, des monstres et du grabuge masqué. Olé!
— André Dubois