Laïcité inch'allah

Ce film sera précédé du court métrage YASMINE ET LA RÉVOLUTION le 28 avril et du court métrage SOUBRESAUTS le 30 avril.

Un film de : NADIA EL FANI
Année de production : 2010
durée : 75 min
Pays : FRANCE - TUNISIE
Langues : FRANÇAIS, ARABE
Sous-titres : Français, Anglais

Août 2010, en plein Ramadan sous Ben Ali et malgré la censure, Nadia El Fani filme une Tunisie qui semble ouverte au principe de liberté de conscience et à son rapport à l’Islam…Trois mois plus tard, la Révolution Tunisienne éclate, Nadia est sur le terrain. La Tunisie, ayant insufflé le vent de révolte, est à nouveau le pays laboratoire quant à sa vision de la religion. Et si pour une fois, par la volonté du peuple, un pays musulman optait pour une constitution laïque ? Alors, les Tunisiens auraient vraiment fait « La Révolution ».

Nadia El Fani participe à de nombreux tournages au poste d’assistante à la réalisation, notamment avec Roman Polanski, Nouri Bouzid et Romain Goupil. En 1990, elle réalise son premier court-métrage, Pour le plaisir et crée à Tunis une société de production Z’Yeux Noirs Movies. Proche des groupes de femmes militantes, elle réalise Femmes leaders du Maghreb en 1993. En 1996, elle coproduit un long-métrage documentaire sur la Canadienne Louise Carré Mon cœur est témoin. En 2002, elle obtient une mention spéciale au festival Vues d’Afrique pour son film Bedwin Hacker.

En présence de la réalisatrice

YASMINE ET LA RÉVOLUTION
Un film de : KARIN ALBOU
Année de production : 2011
durée : 9 min
Pays : FRANCE
Langues : FRANÇAIS
Avec : LISA MAKHEDJOUF, SID-ALI LIMAM, KARIM EL HANDOUZ
Yasmine rend visite à son petit copain… Mais tout ne se passe pas comme d’habitude. La révolution tunisienne du 14 janvier 2011 lui fait comprendre l’importance de l’engagement politique.

MKHOBBI FI KOBBA ( SOUBRESAUTS)
Un film de : LEYLA BOUZID
Année de production : 2011
durée : 22 min
Pays : FRANCE - TUNISIE
Langues : ARABE
Sous-titres : Français
Avec : BOURAOUÏA MARZOUK, MERIEM FERJANI, HAMZA BEN YOUSSEF, SALAH ZEGHIDI
Quand un drame survient dans ces grandes maisons vides de la petite bourgeoisie tunisienne, on le cache. Et c’est pour comprendre ce qu’il s’est passé qu’on recourt au mensonge.