Vue sur la relève : vendredi 13 avril - montréal, arts interculturels

Date
Vendredi 13 avril 2012
Débute à 20:00
Prix
Prix régulier: 8,70 $, prix à la porte: 4,35 $
Lieu
3680, rue Jeanne-Mance
Montréal, QC Canada
H2X 2K5

514 982-1812
Site Web | Itinéraire et carte
Catégories
Groupes
Source
La Vitrine culturelle



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Vue sur la relève : vendredi 13 avril - montréal, arts interculturels

Gibson Muriva : Nyau
Nyau, rituel d’initiation organisé par la société secrète des Chewas du sud de l’Afrique, pousse les jeunes filles et garçons en passe de devenir adultes à affronter leurs peurs, apprendre les prémisses de la vie sexuelle et même subir l’excision ou la circoncision afin d’accéder à un rang supérieur dans la communauté. Point de non retour pour les jeunes Chewas, Nyau les oblige à faire un choix : se conformer aux règles et grandir dans leur communauté ou quitter leur famille, leur village, leur vie. Jeune danseur et chorégraphe originaire du Zimbabwe, Gibson Muriva est reconnu pour sa fusion des danses africaines, du ballet classique et des formes contemporaines de la danse. À travers ce vocabulaire unique, Muriva touche des thèmes universels, inspirés de sa propre expérience.

Chorégraphe et interprète Gibson Muriva
Interprète Chen Zienlinski
Interprète Mika Lior
Interprète Katia Lacelle
Interprète Julie Burel
Violon Fany Fresard

Tomomi Morimoto : Threshold
Extrait de 35 minutes. Lorsque Tomomi Morimoto crée, elle tente de retirer toutes les couches qui font de nous des êtres différents comme nos origines, nos expériences, notre vécu, afin de mettre au premier plan les émotions brutes, les instincts qui nous habitent. Dépouillé de ses artifices, le comportement humain fascine. De même, Tomomi Morimoto exploite les oppositions, l’absurdité des antinomies qui caractérisent la complexité des aspects humains et qui deviennent beaux, sous l’égide de l’artiste. Routine et chaos, répétition et hasard, restriction et abandon, peur et extase: autant d’émotions qui deviennent leur opposé, sans prévenir. Le rêve, ce refuge, qui devient cauchemar…

Chorégraphie et interprétation Tomomi Morimoto
Compositeur et performance musicale Komodo
Chorégraphie du combat Rénald Meunier Daure
Direction technique et éclairages David-Alexandre Chabot
Costumes Denis Olivier Caron
Consultante artistique David Pressault

Maria Isabel Rondon : Barravento
Maria Isabel développe un langage personnel et contemporain, enraciné dans les danses ancestrales du Brésil. Sa formation, provenant de la Technique Silvestre (danse contemporaine d’origine brésilienne), de la capoeira et des danses des Orixas (divinités afro-brésiliennes), façonne sa manière de bouger et de concevoir le mouvement. La pièce s’inspire du barravento qui signifie, au Brésil, à la fois un vent brusque et l’état précédant l’entrée en transe pour les initiés de la religion afro-brésilienne du Candomblé. Maria Isabel joue sur le contraste entre l’immobilité perçue et le changement incessant et inconscient. La transe, état de confusion, fait perdre pied à l’initié, comme si un vent le renversait. Le vent, état de transition, est une métaphore pour le changement. (Extraits du spectacle)

Chorégraphie et interprétation Maria Isabel Rondon
Interprétation Myriam Farger
Interprétation Fedora Mathieu
Interprétation Mika Lilit Lior
Musique et conception sonore Javier Asencio
Lumières David-Alexandre Chabot
Costumes Maëlle Brouillette (Comadesign)
Mentorat David Pressault

Informations et billets

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