Vue sur la relève : mercredi 4 avril

JARDIN MÉCANIQUE : LA SINISTRE HISTOIRE DU THÉÂTRE TINTAMARRE
Opéra rock nouveau genre, La sinistre histoire du Théâtre Tintamarre nous fait voyager dans un univers perpendiculaire où la situation du monde actuel rencontre les décors d’Edgar Alan Poe et de Jules Verne. Le trio loufoque s’inspire des harmonies de Chopin, Tchaikovsky et Shostakovitch tout en rappelant les sonorités des films les plus sombres du réalisateur Tim Burton. Dans l’univers de Jardin Mécanique, il n’est pas rare d’entendre une valse relayer une marche militaire. Les textes empruntent à Baudelaire son vocabulaire romantique et décadent et à Jacques Brel, son sarcasme. La sinistre histoire du Théâtre Tintamarre, un opéra rock à vous faire frissonner de rire...

Guitare et voix : Sylvain De Carufel
Basse et voix : Francis Gagnon
Batterie et voix : Philippe Coulombe

LEELA : LES CHANSONS DE LEELA
Auteure-compositrice-interprète, Leela puise son inspiration aussi bien de ses influences musicales éclectiques (Mum, Overhead, Mathieu Boogarts, etc.) que de ses pratiques artistiques variées. D’une approche créative et très personnelle de la chanson naît un album pop-rock haut en couleur. Ballades et guitares électriques saturées, mélancolie et légèreté cohabitent pour révéler le timbre de voix pur et singulier de Leela. Dans son spectacle, muri d’un parcours riche et construit, se trame une démarche que l’on sent profonde et sincère, explorant les frontières de la féminité.

Leela: Guitares, voix, samples et loops

THIERRY BRUYÈRE : LE SOMMEIL EN CONTINU
Avec son premier album, Le sommeil en continu, Thierry Bruyère propose un univers à la fois urbain et hivernal, influencé autant par Indochine que Neil Young. Avec ses musiciens, Thierry raconte en spectacle l’histoire des laissés?pour?compte et fait le pont entre les rêves inachevés et les espoirs qui perdurent. Il propose ainsi au public de voyager dans Montréal, tel un oiseau nocturne et solitaire qui constaterait le sommeil qui paralyse une ville et ses habitants, zombifiés autant par l’absence et le vide que par le bombardement d’information en continu.

Guitare, piano et voix : Thierry Bruyère
Batterie : Charles Blondeau
Basse et voix : Marie-Hélène Coutu
Clavier et voix : Francis Do Monte
Guitare et voix : Jean-Philippe Fréchette
Mise en scène : Marc-Antoine Larche: